Freedom Writers (le journal d’Ann Frank et Miep Gies)

Article : Freedom Writers (le journal d’Ann Frank et Miep Gies)
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28 août 2016

Freedom Writers (le journal d’Ann Frank et Miep Gies)

Après la rencontre avec les survivants de l’holocauste l’année dernière, Mlle Gruwell voulais que ses élèves et apprennent d’avantages sur la cruauté, la peur, l’injustice qui règne dans ce monde en dehors de leur murs. Elle leur propose le journal d’Ann Frank, une jeune qui a leurs âges.

Journal d'Ann Frank

Extrait du  journal d’Ann Frank. 

Tenir un journal c’est vraiment un drôle d’expérience pour une personne comme moi. Non seulement parce que j’avais jamais rien écrit avant, mais aussi parce qu’il me semble que plus tard, ni moi, ni personne, ne s’intéressera aux réflexions d’une écolière de treize ans.

Des choses terribles se produisent dehors. A n’importe quelle heure du jour, des pauvres gens sans défense peuvent être éjecté de ces eux. Des familles sont déchirées.

Si j’arrive à être moi-même, je serai satisfaite. Je sais que je suis une femme qui a des forces intérieures et beaucoup des courages. Si Dieu me prête vie, j’irai plus loin que maman n’est jamais allé.

Les lois anti-juifs se sont succéder rapidement. Les juives doivent porter l’étoile jaune. Les juives doivent rendre leurs vélos. Les juives font interdiction de prendre le train et circuler en voiture. Les juives n’ont pas droit de se rendre au théâtre, au cinéma, ni dans aucun lieu de divertissement. Les ne peuvent pratiquer aucun sport en public ; piscine, cours de tennis, terrain de hockey et autre sport leurs sont interdit.

Il m’est totalement impossible de bâtir ma vie sur le chaos. La souffrance c’est la mort, je vois le monde se transforme lentement en désert. Je ressens la souffrance des millions des gens et pourtant quand je lève les yeux vers le ciel, j’ai comme les sentiments que tous va s’arranger.

Compte rendu de la lecture du journal d’Ann Frank

Au lieu d’écrire un conte rendu sur la lecture du journal d’Ann Frank en guise de rédaction, Mlle G, demanda à ces élèves de rédiger une lettre à Miep Gies, la femme qui a permis Ann Frank de se cacher. Dans cette lettre, elle voulait qu’ils lui disent ce qu’ils éprouvent en le lisant. De parler de ce qu’ils vivaient.

Puis un élève demanda, et est ce qu’elle va lire nos lettres ? Mlle G répond non c’est juste une rédaction, c’est moi qui va les lires. Puis les autres se demandèrent, et si on le lui transmet nos lettre ? Comme çà on pouvait l’inviter pour venir nous parler.

Mlle G disait que çà cout très chère de la faire venir. Et on ne sait pas si elle pouvait voyager. Puis un élève dit « on collectera les fonds ». Alors ils se sont lancés à la  collecte des fonds, pour faire venir Miep Gies. Ils ont organisé des concerts qu’ils ont appelé « concert pour le changement », des restaurants de plaine air qu’ils appel « Taste for change » et tous genres d’activités génératrices des fonds.

Quand ils ont récolté le fond nécessaire, ils ont fait venir Miep guis à Long Beach. Une femme de court taille aux environs des quatre-vingt, aux cheveux tous blanc.

Miep Gies

La rencontre avec Miep Gies

La prime pour un juif était d’environs deux dollar. Une personne qui manquait cruellement d’argent a averti la Gestapo. Donc le 4 aout, ils ont déboulé dans le bureau ou je travaillais, l’un d’eux a braqué un pistolet sur moi et il a dit, je ne veux rien entendre, pas un mot.

Ensuite ils sont montés directement à l’annexe, je me suis senti impuissante. J’entendais Ann hurlait, les bruits des objets qui volaient dans tous les coins. Alors je suis reparti chez moi en courant, et je cherchais des boucles d’oriels, des babioles, tous ce que je trouvais à prendre avec moi pour les corrompre. Donc j’ai tous rapportait avec moi, toutes ces choses-là,  et le soldat qui était là a collé son pistolet contre ma tête.

Vous pouviez être tué si vous cacher un juif ou déporter. Alors un autre soldat a reconnu mon accent, il venait d’Autriche tous comme moi, mais j’ai été adopté par une famille néerlandaise. Il a dit au soldat qui tenait le pistolet de me laisser tranquille. Pas un jour ne passe, sans que je me rappelle ce quatre aout, et sans que je pense à Ann Frank.

Ensuite un élève demanda la permission de parler et dit « je ne jamais eu de héro dans ma vie, mais vous êtes mon héroïne ». Miep Gies lui répondu ;  « non jeune homme, pas ça. Je ne suis pas une héroïne, j’ai agis ainsi que je le devais. Parce qu’il fallait faire ça, c’est tous. Nous sommes tous des gens ordinaires, vous et moi. Mais même une secrétaire ordinaire, une femme au foyer, ou un adolescent, peut dans la mesure de ces modeste moyens, faire qu’une lumière luise, là où c’est sombre ».

J’ai reçu vos lettres. Je les ai lus Et votre professeur ma beaucoup parler de ce que vous vivais. C’est vous qui êtes des héros. Vous êtes des héros au quotidien. Vos visages resteront graver dans mon cœur.

Fin

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